Un correcteur automatique, c’est pratique… et un bon niveau en orthographe, ça suffit, non ? D’ailleurs, combien d’entre vous ont déjà utilisé le correcteur de leur traitement de texte, puis sollicité la copine prof ou le frère juriste pour chercher les dernières coquilles de leurs écrits ?
Mais cela suffit-il vraiment ? Eh bien, tout dépend de ce que vous souhaitez faire de vos écrits.
La recette d’une bonne correction n’est pas si évidente… et c’est ce qui en fait un « vrai » métier !
Tout d’abord, il y a la maîtrise des règles de notre belle langue française : grammaire, orthographe, conjugaison… ;
ensuite, un œil avisé sur la typographie, la syntaxe et les répétitions est indispensable ;
puis, il faut être toujours curieux, se poser la bonne question au bon endroit, bref, faire de la vérification un véritable crédo ;
enfin, il y a l’art de percevoir les choix de l’auteur, son style, son ton… et de les respecter.
Nos concurrents correcteurs informatiques pourront vous aider… en partie. Le second degré ou la métaphore ne sont pas leur fort.
Pour ce qui est de votre copine professeur ou de votre frère juriste, ils vous apporteront une aide intéressante, c’est certain. Aimer et maîtriser la langue française est important ; mais la correction professionnelle est pleine de subtilités qui sont au-delà de la simple correction orthographie ou grammaticale. Être correcteur, c’est avoir été formé à ce métier par un organisme reconnu.
Alors, oui, la qualité a un prix, mais si vous voulez un texte aux petits oignons, pensez à faire appel à un professionnel de la correction.
Bon appétit !